Editions marco pietteur

Cet ouvrage se propose de réfléchir à la « pandémie » de Covid et à la vaccination consécutive. Il analyse les enjeux latents de cette mystérieuse maladie, jusqu’à y voir de plus en plus clair dans la manière que développe le Pouvoir pour propager la peur et la panique parmi les populations, et leur ôter toute capacité de libre arbitre, de réflexion et d’éveil, afin de les soumettre. C’est comme si le Covid-vaccination avait fait ressortir les immenses fragilités humaines qui se révèlent chez l’homme du XXIe siècle, mais qui couvent depuis très longtemps : une appétence pour le matérialisme, la concrétude, les plaisirs, et le renoncement à la spiritualité, au divin et à l’élévation de soi. Ainsi la société se fluidifie, par les attaques contre les valeurs humaines, les liens familiaux et groupaux qui donnaient lieu jusqu'alors à des différences structurantes. Il s’agit par le fait même de dérouter et d’isoler les gens par la pensée perverse. L’ouvrage réinterrogera aussi la psychanalyse que l’on aurait pu croire garante des libertés et de l’équilibre psychique des personnes. Globalement silencieuse, dans une société prise dans ce qui ressemble à une guerre spirituelle, elle amène à réinterroger ses fragilités et à repenser sans doute aussi ses bases dans le monde nouveau qui est en train d’émerger.

Un livre brillant mêlant psychanalyse, spiritualité et analyse sociopolitique, qui jette une lumière crue sur la guerre silencieuse menée contre l’humanité. Oui, « Nous sommes en guerre ». Ou plutôt : ils le sont, contre nous.

« L’ingénierie sociale est un système de gouvernance qui instaure le chaos, par le fait de distiller l’incertitude et l’imprévisibilité. La peur se répand, la foule est déroutée et perd ses bases identitaires, se fiant alors au meneur dans la mesure où l’individu est trop déstabilisé pour réfléchir par lui-même et se faire confiance. Pour le pouvoir, il s’agit d’occuper la place du prédateur invisible aux yeux de sa proie, le fort se fait passer pour le faible, le prédateur se fait passer pour la victime. Ce système de gouvernance privilégie l’inversion des rôles et des valeurs. »