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DES TORTUES JUSQU’EN BAS (VACCINS : SCIENCE et MYTHE)

resurgence

DES TORTUES JUSQU’EN BAS VACCINS, SCIENCE et MYTHE

Auteur(s) : ANONYME ANONYME

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Titre original : Turtles All the Way Down : Vaccine Science and Myth

Qui a raison dans le grand débat sur la vaccination ? Ceux qui soutiennent que les vaccins sont dangereux, ou l'establishment médical qui affirme qu'ils sont « sûrs et efficaces », et qu'il n'y a même pas à en discuter ? Ce livre répond à la question. Une bonne fois pour toutes.

Que vous soyez professionnel de santé, parent d'un jeune enfant ou que vous souhaitiez vous engager de manière productive dans le débat sur les vaccins qui balaie le monde aujourd'hui, ce livre est une lecture indispensable.

Le 1er chapitre de ce livre est disponible en téléchargement gratuit

Également publié en format poche, disponible ici

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  • 978-2-87434-207-3
  • 9782874342073
  • Janvier
    2023
  • 406 pages
    impression N/B
  • Français
  • 152x234mm

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34,90 € TTC

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Format numérique

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ISBN978-2-87434-207-3
EAN9782874342073
Nombre de pages406 pages, Impression N/B
ParutionJanvier 2023
Langue Français
Type de couverture Relié collé - Couverture souple
Dépôt légal janvier 2022/5053/V2
Dimensions 152x234mm

préfaces de

Michel de Lorgeril
Docteur en médecine, ex-chercheur au CNRS
Expert international en cardiologie et nutrition

Robert Malone
Pionnier de la technologie ARN messager

Mary Holland
Présidente de Children’s Health Defense,
association fondée par Robert F. Kennedy Jr


Des tortues jusqu'en bas est votre guichet unique pour comprendre la science derrière le débat sur les vaccins. C’est le livre que tout parent devrait lire avant de mettre les pieds dans le cabinet d’un pédiatre. C’est également le livre que tout pédiatre et médecin de famille devrait lire avant de recommander des vaccins à ses patients.

Ce livre est tellement solide qu’il semble être le livre définitif sur la question vaccinale. Quand il a été publié pour la première fois en 2019 (en Israël), ses auteurs ont mis au défi quiconque de réfuter les informations qu’ils présentent. Or, il reste à ce jour inattaqué. Cela tient sûrement au fait que ses plus de 1 200 références scientifiques sont tirées de revues scientifiques tout ce qu’il y a de plus autorisées, et d’organismes officiels tels que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et l'Organisation mondiale de la santé. Dès lors, s'attaquer au livre reviendrait à s'attaquer à l'establishment médical lui-même.

En tout cas, la principale revue médicale israëlienne, Harefuah, a salué le livre à sa sortie. DU JAMAIS VU pour un livre critique sur les vaccins.

Qui sont ses auteurs ? Ils ont préféré garder l’anonymat, afin que le débat porte exclusivement sur les faits. Mais aussi, il faut le dire, pour ne pas s’exposer à l’opprobre et risquer de perdre leur gagne-pain. SUJET SENSIBLE.

Les vaccins obligatoires… qu’on injecte très tôt aux enfants… aujourd’hui au nombre de 11… Quand on n’a aucune formation médicale et pas le temps de faire des recherches, on ne sait pas trop quoi en penser. Et, souvent, il est plus facile de faire l’autruche. Ce livre vous sortira la tête du sable ! Quel rapport avec les tortues, nous direz-vous ? Vous verrez bien assez tôt…

Un ouvrage très simple à lire, sans jargon médical, à la portée de tous. Il aborde la plupart des questions qu’on se pose (ou qu’on n’ose pas se poser ou poser).

Les auteurs démontrent (à l’aide de sources officielles) qu’énormément de choses qui font consensus sur les vaccins infantiles sont fausses, alors qu’on les entend partout et que tout le monde les répète comme des évidences. Certaines laissent au moins la place à des doutes considérables.

Dans la première partie, les auteurs expliquent que la sécurité des vaccins laisse cruellement à désirer. Avant d’être distribués, les vaccins infantiles sont testés, mais les tests sont très insuffisants, et ils ne permettent absolument pas aux autorités d’assurer que tel ou tel vaccin est vraiment sans danger pour nos enfants. Il y a même des études qui sont littéralement trafiquées. Les auteurs le prouvent par A+B, exemples à l’appui. Ils parlent aussi de l’espacement des vaccins, du nombre de vaccins qu’on injecte aux tout petits d’un coup… On nous dit que c’est sans risque, qu’il ne faut pas s’inquiéter, mais les auteurs montrent qu’en réalité on l’ignore car les tests sur ces questions sont insuffisants voire… inexistants !

On apprend aussi qu’il n’a jamais été scientifiquement prouvé que les enfants non vaccinés sont en moins bonne santé que les enfants vaccinés. Les auteurs expliquent qu’aux États-Unis il y a beaucoup d’enfants non vaccinés, et que les bases de données médicales disponibles permettraient de faire des études comparant les enfants vaccinés aux enfants non vaccinés, mais que le « système » médical n’a jamais fait une seule étude de ce type. Pire : il empêche la réalisation de telles études !

Dans la deuxième partie du livre, les auteurs s’attaquent de façon tout aussi méthodique (et avec des données on ne peut plus officielles) à certains mythes fondateurs. Ils démontrent d’abord que bon nombre de maladies qui faisaient autrefois des ravages n’ont pas disparu grâce aux vaccins mais grâce aux progrès réalisés en matière d’hygiène, d’assainissement, etc. Autrement dit, il y a des vaccins dont la réputation est usurpée, et qui sont inutiles.

Chose importante à souligner : les auteurs reconnaissent (et prouvent) que certains vaccins ont eu un effet positif (plus ou moins important) sur la mortalité liée à certaines maladies, ou sur la baisse du nombre de personnes qui les ont attrapées sans en mourir. Ils ne sont donc pas des anti-vaccins primaires. Ils ne disent pas du tout que tous les vaccins sont inutiles et à jeter.

Il y a aussi un chapitre très intéressant sur la fameuse « immunité collective », dont on a beaucoup entendu parler pendant le COVID. Les auteurs y passent en revue chaque vaccin inscrit au calendrier vaccinal des enfants aux États-Unis (on a à peu près les mêmes en Europe), et concluent que seuls 5 sur 14 confèrent une immunité collective. En d’autres termes, la vaccination de toute la population n’est justifiée que pour 5 d’entre eux. Quant aux 9 autres vaccins, ils ne protègent pas ou peu les enfants.

Bon, que tel vaccin soit inutile, c’est déjà une chose. Mais est-ce qu’au moins il est sans danger pour les enfants ? Difficile de le savoir – on retombe sur le fait que les tests de sécurité des vaccins sont très insuffisants, et pour certains trafiqués…

Enfin, dans un chapitre de 100 pages (un livre dans le livre), les auteurs font tomber le mythe de la polio et du vaccin antipolio. Veillez à vous asseoir avant d’en entamer la lecture. On y apprend que la maladie est étroitement liée aux pesticides et autres produits toxiques qui ont commencé à envahir notre environnement à la fin du XIXe siècle.

À la fin de chaque chapitre, les auteurs donnent quelques questions simples à poser aux médecins/pédiatres à propos des vaccins – des questions auxquelles tout médecin/pédiatre honnête serait incapable de répondre sans se décrédibiliser et sans décrédibiliser la science des vaccins.

N. B. : Les 1 240 références citées sont détaillées dans un document électronique distinct, téléchargeable gratuitement et consultable sur ordinateur ou smartphone.

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Si Des tortues jusqu'en bas avait reçu l'attention qu'il mérite de la part de la communauté médicale internationale lorsqu'il a été écrit un an avant la pandémie de COVID-19, le monde aurait très bien pu éviter la situation difficile dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui.

Néanmoins, l'ouvrage reste pertinent. Plutôt que d'énumérer les échecs évidents des campagnes de vaccination actuelles contre le COVID-19, le livre offre une explication convaincante des raisons pour lesquelles nous aurions dû prévoir l'échec des vaccins dès le début - mais ne l'avons pas fait.

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Ce livre, à lire absolument, pose la question suivante : pourquoi, après sept décennies, n’avons-nous pas la preuve que les vaccins présentent plus de bénéfices que de risques ?

https://childrenshealthdefense.org/defender/le-livre-a-lire-absolument-pose-la-question-suivante-pourquoi-apres-sept-decennies-navons-nous-pas-la-preuve-que-les-vaccins-presentent-plus-de-benefices-que-de-risques/?lang=fr

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Un film avoir absolument : Des vaccins et des hommes

https://www.arte.tv/fr/videos/091092-000-A/des-vaccins-et-des-hommes/

Yves Rasir commente ce film :

Enfin un bon film sur les vaccins !

Franchement, je n’y croyais pas trop. Même lorsque des amis et lecteurs attentionnés m’ont vivement conseillé de regarder le film « Des vaccins et des hommes »diffusé le mardi 18 octobre sur Arte, je ne pouvais pas croire qu’une chaîne de télé « mainstream » avait osé programmer en prime time un documentaire plutôt critique à l’égard de la médecine vaccinale. Depuis que je m’y intéresse  – soit une bonne trentaine d’années -, j’ai vu des dizaines d’émissions et de docus sur le sujet et j’ai toujours été déçu. Soit leurs auteurs prenaient clairement parti pour les disciples de Pasteur  et reprenaient en chœur les crédos provaccinaux, soit leur neutralité était entachée par des données faussées, des temps de parole déséquilibrés, des questions orientées ou d’autres manières de maquiller un propos partial sous un vernis d’objectivité. Au début, j’ai bien cru que le film d’Anne Georget relevait de la catégorie propagandiste puisqu’il démarre avec une ode à Pasteur suivie des éloges lyriques d’un illustre scientifique à l’égard des « victoires de la science contre l’obscurantisme ». Mais bien vite, on se rend compte que la réalisatrice française n’est pas là pour servir la soupe et  brosser la vaccinologie dans le sens du poil. Au contraire : pendant une heure et demie, des intervenants hautement qualifiés défilent  devant la caméra pour dépoussiérer les mythes,  balayer plusieurs idées reçues et apporter des informations dérangeantes sur les vaccins. S’il n’est pas un réquisitoire sur la pratique vaccinatoire, le documentaire a néanmoins l’immense mérite d’interroger la doctrine dominante et de mettre en lumière quelques-unes de ses failles béantes. Il y en a beaucoup plus, mais voici à mon sens les quatre atouts majeurs du film, les quatre éléments informatifs qu’il contient et qui constituent autant de grosses pierres dans le jardin des injecteurs pasteuriens.

La vraie victoire sur la variole

Non sans pertinence ni habileté narrative, Anne Georget commence par faire un sort à la croyance selon laquelle  la variole a été vaincue par la vaccination de masse.  Un acteur de l’époque relate comment une épidémie a été endiguée au Nigéria dans les années 70  et surtout comment le fléau a été éliminé de l’Inde, où il faisait des ravages. Ce n’est pas le vaccin inoculé à tous qui a permis l’éradication rapide – 0% de cas en 12 mois –  mais un isolement systématique des  malades couplé à la  vaccination « en anneau » de leurs proches.  Selon la jolie métaphore d’un médecin indien, cette stratégie a porté ses fruits parce qu’elle a éteint les maisons en feu au lieu de disperser de l’eau là où il ne se passait rien. Pour que les choses soient bien claires, la réalisatrice rappelle que l’OMS elle-même, dans son rapport final sur l’éradication de la variole,  écrit que les campagnes de vaccination massive ont échoué dans la plupart des cas. C’est bien le dépistage visuel et le confinement des personnes contaminées, ainsi que le ciblage de leur entourage,  qui ont fait merveille, et non un produit injecté à tout le monde sans distinction. Dans le contexte de la « pandémie » covid, cette précision résonne évidemment comme une accusation : il est absurde de contraindre les gens en bonne santé à se faire vacciner alors qu’une autre approche a déjà démontré son efficacité. Ce qu’on pourrait reprocher au film, c’est qu’il entretient en revanche le mythe de la polio vaincue par le vaccin. Il ne dit rien des causes probables du mal (DDT, amygdalectomies…) ni de ses remèdes naturels potentiels (Vitamine C, chlorure de magnésium…) et laisse entendre que le salut est venu du virus vaccinal. Mais c’est fort bien ainsi car on ne peut dès lors pas reprocher à la cinéaste de relayer des hypothèses antivax…

Le faux triomphe du vaccin rougeole

S’en tenant aux faits, elle abat cependant un deuxième mythe, celui selon lequel les vaccins viennent résoudre une situation dramatique et sauver des multitudes de la mort. Et pour ça, elle prend l’exemple de la rougeole. En 1977, soit avant la généralisation de la vaccination,  le taux de létalité de cette maladie dans les pays occidentaux était tombé à…0,017%. Avec des extraits amusants d’une sitcom américaine, elle montre que cet épisode infectieux infantile ne faisait plus peur à personne et qu’il n’y avait donc aucune raison de passer par la case injection obligatoire. Mieux : le film éclaire le phénomène des échecs primaires ( le vaccin ne marche pas tout le temps) et des échecs secondaires (l’immunité artificielle s’érode avec le temps) en soulignant que malgré une couverture vaccinale de 100%, l’immunité de troupeau est impossible à atteindre. Là aussi, l’allusion à l’actualité est limpide et le Dr Michel de Lorgeril en rajoute d’ailleurs une couche en expliquant que pour toutes les infections respiratoires débutant dans le nez, on peut oublier l’espoir de se protéger collectivement via un vaccin introduit dans le muscle. En outre, Anne Georget a interrogé le Dr Guillaume Béraud, infectiologue au CHU de Poitiers et grand spécialiste de la rougeole : ce dernier confirme le déplacement épidémique provoqué par le vaccin puisque la rougeole, qui resurgit périodiquement, est désormais une maladie d’adulte. Elle frappe maintenant à l’âge moyen de 16 ans et devrait bientôt affecter les plus de 18 ans. Or plus les malades sont âgés, plus ils courent le risque de faire des complications graves, notamment  des encéphalites mortelles. Ce qui est assez étrange, c’est que le Dr Béraud déplore cette évolution en déclarant « qu’on a remplacé une situation mauvaise par une situation meilleure mais avec des problèmes ». Le téléspectateur, lui, ne peut plus ignorer que la vérité est exactement inverse : on a remplacé une maladie infantile devenue parfaitement bénigne par une menace mortelle…

L’absence de science

Pour balancer un troisième pavé dans la mare, « Des vaccins et des hommes » tend le micro à Romain Gherardi, le professeur et chercheur qui milite depuis des années pour des vaccins sans aluminium. Ce dernier dévoile ce que les vaccinosceptiques savent depuis longtemps mais que le grand public ignore le plus souvent : les vaccins ne sont pas testés comme les médicaments. Les seconds font l’objet d’études de toxicité sur l’animal pour vérifier s’ils ne sont pas cancérigènes, mutagènes ou nuisibles à la fertilité, alors que les premiers sont dispensés de ce type d’essai préclinique. C’est déjà énorme. Mais il y a encore plus scandaleux, comme le rappelle le Dr Peter Gotzsche : les vaccins ne sont quasiment jamais soumis à un contrôle avec un placebo, c’est-à-dire une substance dépourvue avec certitude de tout composant nocif. Le cofondateur de la prestigieuse Collaboration Cochrane souligne ainsi que pas un seul des vaccins pédiatriques autorisés aux États-Unis (mais c’est pareil en Europe) n’a été testé cliniquement en comparant ses effets avec ceux d’un placebo. Soit le groupe contrôle a reçu un autre vaccin, soit on lui a inoculé une solution qui n’est pas un vaccin mais qui contient des adjuvants douteux. Cette incroyable dérogation au principe d’évaluation des produits de santé est éthiquement indéfendable et elle est « scientifiquement intenable », renchérit Romain Gherardi. La médecine fondée sur les preuves s’appuie précisément sur les études en double aveugle versus vrai placebo pour justifier sa prétention à soigner et guérir. Or quand il s’agit de prévenir via des vaccins administrés massivement, cette exigence de sérieux est purement et simplement abandonnée ! Lorsqu’il a commencé sa longue enquête sur la pratique vaccinale, Michel de Lorgeril a été effaré de découvrir cette réalité qui lui a fait dire, dans les colonnes de Néosanté, « que la science était totalement absente de la médecine des vaccins ». Dommage que le film ne lui permet pas de s’exprimer sur ce sujet car le chercheur émérite du CNRS aurait sans doute également dénoncé l’absence de véritable essai contrôlé des injections anticovid. Pour suivre ses analyses de la saga corona, il faut consulter son blog en cliquant ici.

Une vision dépassée

Mais ne nous plaignons pas des quelques lacunes du documentaire car il donne aussi la parole à des opposants notoires au vaccin antigrippal  ou à celui contre le cancer du col de l’utérus. Concernant ce dernier, le Dr de Lorgeril souligne combien il est risqué puisque chez les femmes déjà infectées par un papillomavirus humain, le risque de cancer est augmenté de 40% suite à la vaccination anti-HPV  ! Celle-ci est un cas d’école car elle témoigne que la patascience vaccinale joue à l’apprentie-sorcière en perturbant périlleusement l’écosystème viral. À mes yeux, c’est justement là le quatrième et plus gros atout du film : il montre que les dogmes pasteuriens sont dépassés et complètement obsolètes car ils se basent sur des savoirs antérieurs à la découverte du microbiome et à celle du système HLA, c’est-à-dire aux caractéristiques génétiques uniques des individus. Sur le rôle positif des micro-organismes que notre corps héberge par milliards, l’interview de l’immunologue américain Mark Davis (vers 1h06)  est particulièrement percutante : ce spécialiste mondialement reconnu explique que des microbes autrefois considérés comme pathogènes sont aujourd’hui envisagés comme des alliés de l’immunité, que les « ennemis » sont donc des « symbiotes »  et que même le redouté cytomégalovirus apparaît désormais comme plus utile que dangereux car il dope les réactions humorales aux infections grippales ! S’agissant du système HLA (vers 1h16), le film rappelle qu’il a été découvert par un Prix Nobel français et que cette découverte majeure  implique que tous les êtres humains ont une immunité différente, autrement dit que chaque personne va réagir différemment à un antigène ou à un vaccin. Pour souligner l’importance de ce « changement de paradigme », Anne Georget évoque une « troisième voie » menant à une médecine préventive et prédictive où la vaccination sera individualisée, prescrite avec parcimonie selon le profil immunitaire et l’état de santé, et non plus imposée à tous  au prix de tragiques effets secondaires. Le système HLA vous est inconnu et vous aimeriez en savoir plus ? Je vous signale que l’ouvrage « L’apport des vaccinations à la santé publique : la réalité derrière le mythe » (publié en 2014 aux éditions Dangles) abordait déjà le sujet. Et je subodore que son auteur, feu le biologiste Michel Georget, ne partageait pas qu’un patronyme avec une certaine Anne Georget. En signant « Des vaccins et des hommes », la réalisatrice poursuit manifestement une œuvre familiale et elle s’inscrit dans la lignée (paternelle ?) d’un pionnier du scepticisme vaccinal. S’il ne comble pas un « antivax » radical comme moi, ce film est de nature à éveiller beaucoup de gens mal informés et à leur faire prendre conscience que la vaccinologie relève davantage de la religion que de la science. Je n’allume plus jamais la télé depuis deux ans mais je me demande si je ne vais pas faire  exceptionnellement exception pour les programmes d’Arte…

Yves Rasir

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Avis de lecteur :

Je viens de terminer la première lecture du livre : Des tortues jusqu’en bas.

Merci, mille fois merci d’avoir traduit et édité ce livre en français.

Quand on sait, que l’original anglais date de 2019, on n’est pas surpris par les manœuvres en tout genre que l’on a pu constater lors de la saga du Covid. 

Ce livre devrait être lu par tous les parents et les grands-parents car je suis certain qu’ils découvriraient beaucoup d’informations, dont ils n’ont pas conscience.

Personnellement, j’ai déjà suggéré à quelques connaissances de lire ce livre, mais j’ai quelques doutes quant au résultat, car beaucoup ne se rendent pas compte de la situation.

Je vous souhaite beaucoup de succès dans votre entreprise d’information de la population sur les réalités de la vie en matière de santé.

Avec mes meilleures salutations,

E. Carton 

PS : « À chaque fois que vous vous retrouvez à penser comme la majorité des gens, faites une pause, et réfléchissez… » Mark Twain


Télécharger le communiqué de presse «  DES TORTUES JUSQU’EN BAS  »

En guise de mise en bouche, MEDICATRIX (Editions marco pietteur) vous offre le téléchargement gratuit du premier chapitre, aussi publié en format poche disponible en librairie.

Cliquez-ici pour le télécharger.

 

Pour toute demande de service de presse, visuel, interview des auteurs :

Marco Pietteur : +32(0)475 32 61 29 - info@mpeditions.be - marco.pietteur@gmail.com 

Des tortues jusqu’en bas. Vaccins : science et mythe.

  •        ISBN : 978-2-87434-207-3
  •        EAN : 9782874342073
  •        Nb. de pages : 406
  •        Langue : Français
  •        Prix : 39,50 €

 

Des tortues jusqu’en bas. Vaccins : science et mythe. Livre poche 

  •        ISBN : 978-2-87211-188-6
  •        EAN : 9782872111886
  •        Nb. de pages : 112
  •        Langue : Français
  •        Prix : 5 €
  •        Format poche : 12 x 18 cm




Auteur(s)

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Par le 03 Déc. 2023 (DES TORTUES JUSQU’EN BAS (VACCINS, SCIENCE et MYTHE)) :
(5/5

Des tortues jusqu'en bas

Le titre de ce livre exceptionnel peut susciter une appréhension. La métaphore utilisée peut ne pas inviter à croire que ce livre est scientifique. Et pourtant, c'est le cas. Je suis, pour des raisons personnelles, un chercheur de la vérité sur les vaccins. Ce livre m'a permis de comprendre que l'industrie pharmaceutique est une industrie du mensonge, que les campagnes de communications ont comme unique but de nous faire croire que la vaccination repose sur des bases scientifiques. Rien n'est plus vrai. Ce livre révèle les techniques de manipulations utilisées par l'industrie pharmaceutique. Le business du vaccin est colossal. Face aux profits réalisés, la vie de nos enfants n'a aucune importance. Avant de prendre une quelconque décision de vaccination, lisez ce livre. Vous éviterez ainsi de devoir vivre ce que nous avons vécu : le décès de notre fille à l'âge de 15 ans suite à l'injection du "vaccin de l'hépatiteB". Merci à Marco Pietteur et à ses équipes de nous révéler autre chose que le discours officiel.
BW.

Notes et avis clients

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